Ko Ko Mo, nouveaux alchimistes nantais du rock 70's
Né en 2014, le duo a véritablement explosé en 2020, avec sa reprise rock du tube disco "Last Night A DJ Saved My Life" (Indeep, 1993), qui donne un aperçu de la puissance qu’il a sous le pied.
Il n’y a pas de hasard, il n’ y a que des signes. En l’occurrence, celui de la limite des algorithmes de Spotify, qui m’ont laissé passer à côté des trois premiers albums de Ko Ko Mo, duo de hard blues rock psychédélique nantais composé de Warren Mutton au chant et à la guitare et de Kevin « K20 » Grosmolard à la batterie et aux chœurs, deux astucieux alchimistes français parfaitement maîtres de leur art, qui procèdent à une piquante transmutation de l’esprit musical déjanté des 70’s.
Leur dernier album :
Né en 2014, le groupe explose véritablement en 2020, avec sa reprise rock du tube disco Last Night A DJ Saved My Life (Indeep, 1993) qui donne un aperçu de la puissance qu’il a sous le pied.
Dès la sortie de son premier album Technicolor Life en 2017, Ko Ko Mo part en tournée sur les scènes européennes, australiennes, malgaches, japonaises, coréennes, chinoises, indonésiennes et indiennes. Leur deuxième album Lemon Twins, sorti en 2019, est le premier à recevoir un accueil bienveillant de la critique.
Sur les traces de Shaka Ponk, Ko Ko Mo avait déjà sorti une reprise rock du titre Personal Jesus de Depeche Mode en 2018, passée plus inaperçue. Leur dernier single Your Kiss exprime tout leur savoir faire.
Le 10 juillet 2022, fraîchement signé chez PIAS, Ko Ko Mo s’est produit lors du Festival Beauregard d’Hérouville-Saint-Clair, délivrant un set endiablé et inspiré, à la croisée de Led Zeppelin (ne serait-ce que pour la voix exceptionnelle de Warren Mutton), des Black Keys des White Stripes… que les caméras d’Arte Concert n’ont pas manqué de capter :