Un amour de 70's
Petit voyage en playlists dans ma discothèque d'enfant baba punk de baby boomers élevé à l'élixir de l'amour libre et du rock.
La shortlist qui met de suite dans l’ambiance.
L’intégrale : une sélection des meilleurs titres de Lou Reed, Aerosmith, David Bowie, Yes, Status Quo, King Krimson, The Rolling Stones, Pink Floyd, Led Zeppelin, Captain Beefheart, Alice Cooper, Jimi Hendrix, Neil Young, Frank Zappa. A écouter en mode aléatoire. Ci-dessous une playlist par artiste.
A 73 balais, Papy Alice se classe #1 du Top albums de Billboard aux US avec son dernier album studio Detroit Stories qui déchire, en puisant dans ce qu’il y a de meilleur au pays d’Alice.
One of the Best. Et pourtant pas le plus sympathique.
La grande classe.
Les grandes envolées mélodiques et instrumentales des Yes dessinent-elles des fractales ? That is the question.
Les Pink Floyd s’inscrivent au firmament du psychédélisme pop des 60's et des 70's. Initié par un ami, dont j'ai enregistré tous les LP sur K7 "on the air" avec un tourne-disques Radiola, à un âge où on sort à peine de la pré-adolescence, les Floyd m'ont téléporté sur une planète dont je ne suis jamais redescendu.
Le meilleur groupe de rock’n’roll de tous les temps.
Nice Old Man. Père du grunge.
Avant de disparaître Hendrix voulait se consacrer au travail en studio. Son rêve, enfin réalisé depuis peu, avait toujours été de posséder le sien. Les nouvelles versions studio de quelques titres phares dans l'album Valleys of Neptune, sorti par Sony Music en 2010 pour le 40ème anniversaire de sa mort, témoignent de la qualité du travail qu'il s'apprêtait à entreprendre.
Du doo-wop au rock progressif, du classique (celui du XXième siècle, avec Varèse et Stravinsky) au jazz-rock et jusqu’à la musique contemporaine - dont il fut le premier à introduire le langage dans le rock, lui empruntant ses mesures irrégulières et ses polyrythmes -, Zappa a exploré et épuisé tous les genres, se payant même le luxe d’enregistrer deux disques avec le London Symphony Orchestra dans les années 80, et de voir trois de ses pièces musicales jouées par Pierre Boulez et l’Ensemble intercontemporain en 1984.
Je marchais 4 ou 5 km dans les bois pour aller écouter leur album In The Court Of The Krimson King chez un ami.
Quand le boogie rock remplissait les stades.
Mauvais garçon avec les Rolling Stones, gendre idéal avec les Beatles, fallait choisir son camp camarade. Ma sympathie allait au diable.
Glam on.
Que dire de Beefheart sinon que j'ai rencontré sa musique chez un ami en compagnie d'une bouteille de bourbon dans les murs d'une vieille maison toulousaine en bordure de Garonne et qu'elle ne m'a plus jamais quitté.